Pour 2-3 personnes :
- 1 boîte de pousses de haricots mungo en conserve
- 1/2 boite de petits épis de mais en conserve
- 3 petites carottes
- 2 c. à s. d'algues lacto-fermentée Le Sojami
- 2 c. à s. d'assaisonnement japonais
- 1 petite c. à s. de sauce soja salée
- 1 c. à s. d'huile de sésame
- 1 c. à s. de nuoc-mâm (facultatif)
Peler les carottes, les râper grossièrement ou mieux, les couper en filaments très fins.
Egoutter les épis de maïs, les couper en deux dans la largeur puis encore en deux dans la longueur, suivant leur taille.
Rincer brièvement les algues lacto-fermentées.
Dans un saladier, mêler l'ensemble des légumes.
Préparer la sauce dans un petit bol : mélanger l'assaisonnement japonais, la sauce soja, 2 c. à s. de liquide des pousses de haricots, l'huile de sésame et le nuoc-mâm le cas échéant. Goûter et ajuster à votre goût en rajoutant plus ou moins de sauce soja, d'assaisonnement japonais ou de nuoc-mâm.
Verser la sauce sur les légumes et bien mélanger.
Laisser reposer au frais au moins 1 h au frais, pour que les saveurs se mêlent.
Servir bien frais.
Recette réalisée dans le cadre de mon partenariat avec Le Sojami
Lorsque je lis tous ces produits sur les blogs franco-francais, j'envie vraiment la chance que l'on a en France de trouver tout un tas de produits prêts à l'emploi. Ici, je dois tout faire ou presque. Et encore, il y a des laits végétaux maintenant ! Il y a un an, j'entassais l'okara dans mon réfrigérateur, utilisais au moins 2 fois/mois ma MAP pour le seitan ( tjs d'ailleurs ) ... heureusement que je trouve un peu de tofu et tout un tas de légumineuses diverses et variées et pas mal de céréales. Tant pis pour les simili carnés, etc !
RépondreSupprimerSans la sauce de poisson, j'accepte ton plat d'algues bien volontiers ... une fois de temps en temps, ce doit être bien bon ;-)
Des bises gourmandes ma Belle **
En effet, on a de la chance en France, et moi encore plus car j'habite dans un quartier multi-culturel alors il m'est très facile de trouver toute sorte de produits exotiques sans trop de mal. Je réalise ma position de privilégiée lorsque je part en vacances dans mon village d'origine où le premier magasin bio est à 30 km (et encore, très peu fourni) et pour les produits qui sortent un peu de la doxa française, il faut vraiment, vraiment s'accrocher (et le plus souvent se résigner à s'en passer!).
SupprimerEnfin, ça a parfois du bon, car cela nous oblige à être créatif!!